Les sympathisants et donateurs
Jean-Charles Hery, sympathisant de l’association ayant financé plusieurs projets sportifs au Foyer Lataste : « Lors de ma première venue au Foyer, ce qui m’a d’emblée plu, c’est le fait de me sentir dans un espace joyeux et apaisé par un accueil de sourires bienveillants... lire plus ici
Louis Marie et Françoise Pasquier, de la Fondation Natan, Fondation Familiale sous égide de la Fondation Caritas France nous soutenant depuis 2013 : « C’est une belle rencontre avec Georges et Patricia qui est à l’origine de notre histoire avec le Foyer Lataste… lire plus ici
Les parrains et marraines
Dominique Oliveira, parrain de Boeuk depuis 2004 : « Ce que je souhaite en tant que parrain est simple, je voudrais que mon filleul soit heureux. Mon espoir, c’est qu’après être sortis du Foyer, les enfants trouvent un métier qui corresponde à leurs talents, et que chacun apporte sa pierre à l’édifice de la reconstruction et de la transmission du savoir. Déjà, certains aînés du Foyer ont commencé à devenir acteurs de la solidarité pour aider les autres qui en ont besoin. Cela crée un effet boule de neige positif. »
Xavier Ernoult, parrain du Foyer Lataste depuis 2003 : « Moi, je soutiens l’ensemble des enfants et les actions du Foyer avec le parrainage collectif. Cela permet d’équilibrer le soutien apporté aux enfants sans distinction et j’aime ça. »
Yolande Meljac, marraine de plusieurs enfants du Foyer Lataste depuis 1999 : « Pour la marraine que je suis, mon expérience au Foyer ne ressemble à nulle autre. Le Foyer est un monde en soi, où chacun a sa place et sait ce qu’il doit faire. Tout se déroule avec naturel et bonne humeur. Les enfants sont entre de bonnes mains : j’admire le dévouement, le professionnalisme et l’humanité dont fait preuve l’équipe. »
Agnès et Serge Lallemant ont soutenu Hok pendant 14 ans : « On nous a demandé de choisir si nous voulions un garçon ou une fille et c’était un peu comme nous demander ce que l’on préférait avant une naissance. Alors, spontanément nous avons répondu peu importe. Ce que nous avions apporté à nos trois enfants, nous voulions qu’un enfant qui n’avait pas eu la même chance puisse en bénéficier. »
Denis Gimenez, parrain de Channi, arrivée au Foyer à 6 ans, aujourd’hui en études supérieures à Phnom Penh : « Dans le car, une excitation se fait ressentir, un peu d’appréhension peut-être, beaucoup de questions. Comment est-elle ? Aura-t-elle beaucoup changé ? Parle-t-elle le français ? Qu’est-ce que l’on va se dire ? Ça y est, nous franchissons le portail. Le car s’arrête et nous voilà cherchant un visage qui ressemblerait aux photos que nous avions reçues. »
Les filleuls
Sok Penh étudie l’informatique à Passerelle Numérique Cambodia (PNC) depuis 2015 : « Je suis né dans la province Banteay Meanchey, à Sisophon. J’ai grandi ici, ma maison est à quelques minutes du Foyer Lataste. Nous sommes 5 enfants : les trois plus grands sont partis tôt pour aller travailler en Thaïlande, ils ont dû arrêter l’école. Seuls ma petite soeur et moi-même avons pu poursuivre les études. J’étais bon élève au lycée, l’école m’a toujours plu et je voulais faire de mon mieux. Grâce au soutien du Foyer Lataste, j’ai pu passer mon bac et faire des études en informatique avec Passerelle Numérique »
Hok, ancien enfant du Foyer, a obtenu un BTS d’électricien en septembre 2012 : « Avant d’être accueilli par le Foyer Lataste, j’était dans un internat. Je n’aimais pas du tout cet internat parce que certains étudiants essayaient de me convertir à leur religion et puis il y avait beaucoup de vols entre étudiants, le soir, la nuit, dans les placards. C’était difficile de garder de la nourriture ou notre savon, parce que les autres se servaient. Mais à partir du moment où j’ai habité avec les autres étudiants du Foyer, tout s’est bien passé. »
Kimhoun étudie en BTS cuisine depuis octobre 2012 grâce au soutien du programme Etudiants : « C’est facile de trouver du travail dans cette branche, et puis j’ai toujours aimé faire à manger. En plus c’est une sorte de tradition familiale. On faisait toujours appel à ma grand-mère pour les mariages parce qu’elle était excellent cuisinière. »
Moeurn Kimhean a été aidé dans le cadre du programme Filleuls Isolés et a obtenu en 2009 une bourse d’études pour la Norvège. Il écrit alors de lui-même un témoignage « Autography and study experience » : « My name is Moeurn Kimhean. First of all, i am respectful toward head of Foyer Lataste learning centre, staffs workers and all members in Foyer Lataste. This moment i am very pleased to write you an essay writing entitled « Autography and study experience » in purpose of sharing my own practical study experience with others students, who wish to be successful in their study and in their life, as well. Also, I would love to give a brief assessment of my study process under the supporting from Foyer Lataste learning center. »